● Indépendante :: Ce qui faut savoir en premire sur Sunshine c'est qu'elle est totalement libre. Elle fait ses petites affaires seules, se gère toute seule, et n'a besoin de personne pour survivre, que ça soit sa mère ou encore un mec, elle peut très bien s'en passer. ♣ vulgaire :: La miss n'a pas un langage très correcte, dans un premier temps. Il est sûr qu'on ne l'inviterait pas un bal où seul des personnes très aisé y seront. mais ce n'est pas seulement dans sa manière de parler que la miss est vulgaire, parfois ses vêtements sont réellement vulgaires. beaucoup trop court, au point qu'on pourrait croire que seul des sous-vêtements lui suffirait. ♣ obstiné :: Si la belle a une idée en tête, je vous souhaite bon courage pour lui faire changer d'avis. Quand elle veut quelque chose, rien ne peut l'empêcher d'arriver à ses fins, et elle aura surement ce qu'elle désire. en bref, lui résister ne sert pas à grand chose. ♣ manipulatrice :: parce qu'elle sait comment se jouer des personnes. Elle aime étudier le comportement humain, et la manipulation fait parti du programme. ♣ joueuse :: il faut bien mettre du piment à la vie, non ? Oui, Sunny est une jeune femme très joueuse. Elle aime se donner des niveaux à atteindre, des petits défis à elle toute seule. Elle se joue des garçons, elle se joue de la vie. ♣ inconsciente :: il est vrai que la Miss a beau être intelligente, elle peut parfois dérailler. Sur une envie soudaine, elle peut faire des actions qui pourrait la mettre en danger, ou mettre en danger les personnes autour d'elle,et c 'est vrai qu'elle ne réfléchit pas beaucoup pour ça. ♣ impulsive :: comme je l'ai dit auparavant, Sunshine réagit au quart de tour. Vous n'aurez même as le temps de l'agresser qu'elle aura déjà contre attaquer. Elle fait parfois des choses sans réfléchir aux conséquences, juste parce que sur le moment elle en a envie. ♣ passionnée :: quand Sunny aime quelque chose, elle l'aime vraiment. L'exemple le plus simple est celui de la musique. Pour elle le chant est toute sa vie. Quand elle se met à composer des chansons, elle l'ai fait avec ses tripes, avec toutes les émotions qu'elle voudrait déchargé sur papier. ♣ sociale :: je ne dirais pas que Sunshine communique très facilement avec tout le monde, mais elle a plutôt un bon feeling avec les personnes. Elle n'est pas très timide, et arrive à se faire des connaissances ou des amis assez facilement. rencontre des nouvelles personnes, pour elle, est excitant et amusant. ♣ fêtard :: surement l'un des traits de caractère qu'on remarque le plus chez la belle brune. Elle adore faire la fête, à vrai dire elle ne fait que ça. elle sort tous les sors, va s'éclater, va se défoncé. C'est toute une partie de sa vie, ce genre d'évènements qu'elle pratique tout le jours de l'année sans en être dégoutée à force. ♣ sensible, même si elle ne le montre pas ♣ charmeuse :: une autre de ses passions : les garçons. oui, elle les adore. Elle aime par dessus tout charmer la gente masculine, pouvoir les utiliser à son souhait, avoir le pouvoir sur eux, elle adore. ♣ secrète :: ses amis pensent connaitre Sunshine, mais quand ils y repensent ils se rendent souvent compte qu'ils ne connaissent pas grand chose de sa vie privée. Sunshine n'aime pas étaler touts ses malheurs, ou bonheur aux autres. Elle est plutôt mystérieuse de ce coté là. Elle a son jardin intime qu'elle veut à tout prix conservé. ♣

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ONE ♣ I think we've an emergency

« Oh maldito. Me voy de tender el kiki ! Punaise, punaise, PUNAISE ! »

Ma mère, dans tout sa splendeur. Mais cette fois, et pour une fois, elle avait bien une raison de crier. Ma génitrice venait de perdre les eaux. et oui, je réclamais de sortir du ventre de ma mère, ou plutôt on réclamait : moi & ma soeur jumelle. Les spermatozoïdes surement puissant de mon père, avait décidé de me faire ce bon "cadeau", très empoisonné, en tout cas le cadeau. Bref, j'en étais à l'accouchement de ma mère. Un soir de 17 octobre, alors que la pluie se déchainait dehors, en plein coeur de New York dans les années 30.

Je vais tout d'abord commencer par parler de ma famille, le plus important je pense. Ma mère est assez.. dingue. Elle crie beaucoup et pour pas grand chose. on pourrait appeler ça une femme de caractère, moi je préfère la nommer la dingue, je trouve que c''est réellement le bon mots, celui ci. Elle est mère au foyer, comme beaucoup de femme, et c'est donc chargé de nous éveiller. Elle ne s'occupe pas du tout des affaires de mon père, se contentant de l'écouter quand il parle, et de lui donner tout de même quelques conseils quand il en demande. on ne dirait pas comme ça, mais ma mère est assez intelligente, et très rusé. il est clair que sans elle, mon père aurait surement fini en prison. Car oui, vous devez surement connaître mon père, on en parle pas mal dans les journaux, Gaeatano Tommy Lucchese , le chef d'une organisation de ma mafieux, dont ma famille est aux commandes. Il tes clair que je n'ai pas grandi dans un contexte habituel. j'ai du affronter bon nombre de chose, comme la perte d'être chère, à cause de règlement de compte, ou d'être séparé d'une personne proche, car il devait aller au tribunal, pour répondre de ses actes, et j'en passe des meilleures.. Mais vous savez quoi ? Je crois que c'ets la meilleure famille dans laquelle j'aurais pu tomber.

TWO ♣ Still your daughter, still the same

Mon enfance est un agréable souvenir. Il n'y avait pas beaucoup de couac, à ce que je me souvienne bien évidemment. Mes seuls souvenirs désagréables c'était lorsque, et attention vous allez être surpris, ma mère pétait des câbles. ça lui prenait comme ça parfois, elle criait, sans trop savoir pourquoi, mais c'était ma maman adorée, mon exemple, mon héroïne, bien plus qu'un simple modèle. j'aurais voulu être elle à cet âge, elle était tellement merveilleuse à mes yeux, personne ne pouvait la dénigrer. Elle était belle, intelligente, câline, la mère parfaite et idéale. Je me souvins encore des petites attentions qu'elle me donnait, qui ne sont plus qu'un simple souvenir aujourd'hui.

Un orage battait son fort, dans la nuit du 22 Novembre 1940. J'étais allongé dans mon lit, serrant la couette le plus fort que mes petits muscles me le permettait. j'avais très peur des orages, le bruit étonnamment fort, semblait se rapprocher de plus en plus, et j'avais extrêmement peur, comme toute les petites filles de mon âge je présume. Les larmes s'échappaient silencieusement de mes yeux, et je priais pour que cette nuit se finisse au plus vite. Je ne voulais pas aller rejoindre mon papa et ma maman, me persuadant que j'étais une grande fille, et que je pouvais résister à cette nuit. mais lorsque je m'y attendais le moins, j'entendis ma porte de chambre s'ouvrir. Ma maman, apparemment non fatigué, vins me faire un bisou.
« tu veux venir dormir avec maman, ce soir, ma puce ? j'ai viré ton père » me dit elle un sourire dans la voix.
J'acquiesçai de la tête, et elle me prit dans ses bras, pour m'emmener dans sa chambre, alors que je pus apercevoir mon père en train de se faire du café, dans la cuisine. Elle m'avait apporté de l'attention à moi. Sans être brusque ou méchante, puis rien qu'à moi. pas à ma soeur, ni à mon père, mais seulement à moi. Ce fut surement le plus beau souvenir avec celle que je surnomme maintenant le diable.

Malgré que ma mère était mon objectif à atteindre, j'étais tout de même beaucoup plus proche de mon père. Je venais souvent le déranger lorsqu'il travaillait dans son bureau. je courais vers lui, et accrochais mes petits bras autour de son cou. Il ne râlait pas ou ne me disputait pas car je venais de l'interrompre, non, il me serrait encore plus fort, me faisant des chatouilles. Mon père me vouait une profonde admiration; j'étais tout pour lui, personne n'avait le droit de me disputer, j'étais sa petite princesse, la chouchoute de la bande. J'en étais fière, puisque notre famille était tout de même nombreuses, avec les cousins et toute la clic. Très jeune, il commença à m'inculquer son métier, car je lui demandais souvent de m'expliquer. Il me racontait tout, sans prendre de gants, m'avouant même que la police pouvait me priver de mon papa adoré. Il savait que même enfant j'étais assez forte pour comprendre et affronter cette réalité. Il m'apprit jeune à me battre, et quelque techniques pour immobiliser un adversaire. moi, j'adorais ça, je voulais encore et encore de ses leçons. C'est à ce moment là qu'il comprit et moi en passant aussi, que je serais surement l'une de la famille qui serai le plus apte à reprendre le flambeau,e t surtout à amener à bien des missions.

Mes relations étaient tout autre, avec ma soeur jumelle, Heaven. Je la détestais, je la haïssais. Elle, semblait m'aimer, mais moi, je ne pouvais pas la voir en peinture. Qu'est ce que j'aurais aimé être fille unique, à cet époque là; Je voulais toute l'attention pour MOI, et pas pour elle. Cela m'insupportai, qu'on puisse discuter avec elle, ou jouait avec elle, alors que moi, je ne faisais rien. je vouais être la seule, mais elle était là. de plus, avec la même apparence que moi. J'étais souvent méchante, injustement avec elle, et je ne comprenais même pas pourquoi les adultes me disputaient. pour moi, il était tout à fait normal, que ça soit moi qui est le jouet, que je jette son nounours, que je dise des méchantes choses sur elle, que je l'ignore. Pour moi, c'était juste, car le monde avait été injuste avec moi. Mais, lors de mon adolescence, un retournement de situation s'oppera.

THREE ♣ Does I'm wearing seems to chock you ?

Ah douce adolescence.. Ah croire que cette période fut en même temps merveilleuse, et catastrophique. j'étais une bonne élève dans le passé, mais là c'était fini. Je ne pensais plus aux études, je ne pensais plus aux respects, je pensais surtout à m'éclater. Mes notes dégringolèrent, lorsque je fus en fin de collège, il fallait dire que les rencards passaient avant le boulot. très jeune, je commençais à boire, à fumer, à sortir en douce, expérimenter des nouvelles choses quoi. j'avais envie de tout, tout de suite, même si ce n'était pas possible. Le lycée fut ma perte, je n'était plus la même qu'auparavant, j'étais cent fois mieux.

Et les ennuis avec ma mère commença; Elle ne se réservait plus de crier, l'époque était désormais révolu; Nous n'étions plus des petites filles, et elle n'avait pas peur de nous effrayer. Mais le seul ennui, c'est que moi aussi, je n'avais plus peur. les premières crises familiales commencèrent, seulement entre moi et ma mère. il était vrai que ma jumelle et mon père, n'étais presque dans aucune dispute. il n'y avait que nous qui faisions le bordel, car j'avais au moins hériter de la voix et de la réparti de ma mère. Autant dire que cela allait en crescendo. Plus je grandissais, et plus nos points de vue divergeaient. Ma manière de parler, de me comporter, et surtout de m'habiller, ne lui plaisir guère et c'était source de nombreuses disputes. C'est sûr que je n'étais pas une bonne soeur,et quand je sortais, il m'était facile d'attirer les garçons, mais peu m'importait j'aime ça, et elle n'avait rien à dire , point finale. Je n'appréciais vriament pas comment elle me traitait, alors les insultes fusaient à la maison. oui, il y avait beaucoup de :: "vieille conne" && de "petite salope".

mais je dois avouer que le "petite salope" était mérité. Oui, j'avais grandi, et j'avais pris conscience que mon corps était une arme, dont je pouvais me servir à ma guise. Je m'habillais provocante, et tout les gars étaient à mes pieds, et j'aimais les garçons. Je ne me souvins pas le jour, où tout a débuté, le jour où j'avais décidé de prendre le mauvais chemin. Moi qui pensais pouvoir tout gérer, je me suis vite rendu compte qu'on ne pouvait pas contrôler, les addictions. Je n'étais plus qu'une drogué, que ça soit à la cigarette, ou à la Coke.Ma nouvelle résolution était :: Sex, Drug & Roc'n'roll. Et malgré toute cette débauche, j'avais une addiction qui faisait de mal ni à moi, ni à personne d'autre : la musique. Le bon dieu, surement pour me récompenser d'avoir survécu dans cette famille, m'avait doté d'une sublime voix grave. C'est comme ça, que je me mis à écrire des chansons, sur mon mal être, sur ma façon de voir les choses, sur mes addictions, sur les mecs également. Sur toute ma vie pour ainsi dire. La musique était la seule qui me permettait d'extériorisés mes sentiments, alors autant dire que c'était plus que précieux.

Mon père ne me blâmait pas sur le chemin que j'avais pris, il s'en pensait quelque peu responsable. Mais faisant mine de rien, il continua à m'entrainer, à m'apprendre le métier. bientôt je sus manipuler des armes, qu'elles soient à feu ou non, et parfaitement me battre. Parfois il acceptait même que je vienne avec lui pendant des entretiens, ou autre. Voyant que je me débrouillais plus que bien, il commença à me laisser prendre des ailes, me laissant me charger d'affaires seules, ou prenant les commandes de ses employés.

Mais je ne vous ai pas encore parler de ma soeur jumelle. Les choses s'amélioraient avec elle, même si il était clair que nous étions les deux opposés. elle était une élève sérieuse, avec de bon résultats scolaires. Elle était très gentille avec tout le monde, et n'avait pas du tout le même mode de vie comme moi. alors que je faisais le mur, par exemple, elle parlait à sa meilleure amie, pour lui parler d'un garçon, dont elle était folle amoureuse, ou de ce genre de niaiseries, qui feraient pleurer les fleurs bleues. Mais contre toute attente, nos rapports s'amélioraient. Déjà je ne maudissais plus son existence, ce qui 'était énorme. Elle prenait aussi parfois ma défense, que ça soit auprès de ma mère, ou des responsables du lycée. Elle me soutenait tout le temps, sans que je m'en rend forcement compte, et en contre parti, je commençais à lui faire expérimenter des choses. Comme lorsque je l'avais fait fumer, dans les toilettes du lycée, ou encore quand j'avais apporté de la "vraie" boisson dans sa chambre, un samedi soir, renonçant à sortir pour passer une soirée avec elle. Je lui donnais des conseils pour ses relations, et elle m'aidait pour mes devoirs. Plus on grandissait, plus notre différence nous rapprochait. et je dois dire, que ça faisait du bien.